
Quand:
12, 19 et 26 mars 2025 (mercredi)
8h New York | 13h Genève | 19h Bangkok | 21h Incheon
(trois sessions en ligne de 120 minutes et une enquête de suivi)
Objectifs de la formation
La formation constitue une initiation pour les dirigeants, les planificateurs et les professionnels en matière d’urbanisation, et vise à :
- Accroître la prise de conscience et la compréhension de la gestion des risques de catastrophe urbaine complexe, des urgences sanitaires et de la gestion des risques de catastrophe, en tirant parti de la technologie et en facilitant la coopération Sud-Sud et triangulaire ;
- Introduire des concepts et des outils utiles pour renforcer l'inclusion, en particulier l'inclusion des personnes handicapées et des personnes âgées, dans la gestion des risques de catastrophe urbaine ;
- Mieux préparer les acteurs de la ville et les engager à rendre les villes résilientes face aux crises, aux urgences sanitaires et non sanitaires et aux incertitudes à venir ;
- Faciliter l'apprentissage par la coopération Sud-Sud et triangulaire et le partage d'expériences ;
- Inspirer et motiver l'ensemble de la société à jouer un rôle clé et actif dans la garantie d'un avenir urbain résilient et durable.
Public ciblé
Les responsables des gouvernements locaux et nationaux chargés de la réduction et de la gestion des risques de catastrophe, de la planification et du développement urbains et de la préparation aux urgences de santé publique, les associations nationales de municipalités, les professionnels en matière de résilience et de développement urbains, ainsi que la société civile, le secteur privé et le milieu universitaire.
Le cours est ouvert aux participants des pays développés et en développement. La participation de personnes provenant de pays moins avancés et de petits États insulaires en développement est vivement encouragée.
Nombre de participants : un nombre maximum de 1000 participants peut assister aux sessions de formation en direct, sur la base du principe « premier arrivé, premier servi ».
Organisateurs
- L'Institut mondial d'éducation et de formation (GETI) du Bureau des Nations Unies pour la réduction des risques de catastrophe (UNDRR) a été créé en 2010 pour former un nouveau groupe de professionnels à la réduction des risques de catastrophe et à l'adaptation aux changements climatiques afin de construire des sociétés résilientes aux catastrophes. La mission du GETI est de fournir un soutien au renforcement des capacités afin d'intégrer la réduction des risques de catastrophe et l'adaptation aux changements climatiques dans le développement durable, d’organiser et de soutenir l'apprentissage interurbain pour renforcer la résilience (Making Cities Resilient) et de fournir un soutien en matière de renforcement des capacités et de partage des bonnes pratiques aux institutions nationales de formation en charge des questions de résilience. Basé à Incheon (République de Corée), l'UNDRR GETI est également le secrétariat mondial de Making Cities Resilient 2030 (Initiative pour le développement de villes résilientes).
- Le Bureau des Nations Unies pour la coopération Sud-Sud (UNOSSC) a été créé pour promouvoir, coordonner et soutenir la coopération Sud-Sud et triangulaire à l'échelle mondiale et au sein du système des Nations Unies. L'UNOSSC a lancé le projet de coopération Sud-Sud et triangulaire entre les villes pour promouvoir cette coopération au niveau des villes et faire ainsi progresser les objectifs de développement durable.
- Le Département Urgences sanitaires de l'Organisation panaméricaine de la Santé (OPS/OMS) collabore avec les pays de la Région des Amériques pour accroître la résilience du secteur de la santé face aux situations d'urgence et aux catastrophes. La priorité de l'OPS est de fournir un soutien rapide, prévisible et complet aux États Membres en termes de prévention, de réduction des risques, de préparation, de surveillance, de riposte et de relèvement rapide en cas de menace pour la santé humaine, telles les flambées épidémiques ou les catastrophes causées par des phénomènes naturels, des agents biologiques, chimiques ou radiologiques, l’activité humaine, les conflits ou tout autre danger. Lorsque les capacités nationales sont saturées, l'OPS est prête à diriger et à coordonner l'action sanitaire internationale pour contenir les catastrophes, y compris les épidémies, et pour fournir des secours efficaces et un relèvement aux populations touchées.